Constantine, a felejthetetlen













20.

CONSTANTINE, MON AMOUR…

J’ai oublié autant d’amours,
des pays, des villes, des souvenirs,
mais je savais, quand même: un jour
viendra, quand dans l’avenir
je serai venu de retour,
obligé avant de mourir
de révoir, rédécouvrir
ton beau visage, ton doux sourire,
bien que mes jours déclinent,
toi, mon amour, Constantine.

J’ai rêvé, pauvre vagabonde,
de tes rochers si fantastiques,
de tes collines, de tes ponts,
de chaque morceau d’un mosaique
de ma vie triste et monotone,
en rappelant les féeriques
crépuscules et la douce chanson,
pleine de nostalgie et classique,
qui résonne encore dans les mines
de ma mémoire, Constantine.

Attaqué par la vieillesse,
me voici, poête perdu,
les beaux souvenirs ne me laissent
jamais t’oublier, une fois vu
dansla cavalcade de kermesse
ta silhouette, apparue
sur l’horizon de ma jeunesse.
Comme un pelerin, pieds nus,
j’attends, que tu m’illumine,
toi, mon amour Constantine……











Régi blog: 2008. február 27.
2008 22:48:04

"...un jour viendra, quand dans l’avenir
je serai venu de retour," - Én már sohasem 😔



Nincsenek megjegyzések:

Megjegyzés küldése